18.1.11

Riquixá (Pousse-Pousse)

Nuits blanches, lunette grises
Matisse, je m’émerveille
Une femme um diamant à l’aise
On n’a pás de nouvelles
Matin d’une toile douce
Désormais je l’apelle
La pareses éternelle
Je rêve dans mom pousse-pousse

Jê pars seule em silience
Mes souvenir mise em sène
Rapport d’une seule nuit
La vie dans une semaine
À peine un jour partout
Tes yeux d’un coup dans la Seine
Le souffle d’une mauvaise reine

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